En ce mois de Movember, et sous la présidence de David Farge, du blog Abistodenas, j’ai fouillé dans mon répertoire de vins de tout poil afin d’en trouver un qui me ferait friser la moustache. Un choix cornélien qui m’a amené à déguster Monsieur Moustache, quille d’Auguste Derrière sans prétention et pleine d’humour, qui distille avec générosité tout un tas de jeux de mots pileux.
Création malicieuse d’un collectif de graphistes bordelais, le personnage d’Auguste Derrière nous fait sourire grâce à ses pirouettes linguistiques absurdes et la légende qui entoure ce « fleuron du non-sens et du jeu de mot laid ». Particulièrement réceptive à ce genre d’humour (oui, j’ai la chance d’avoir des amis bon public), je me délecte depuis quelques temps déjà de ces maximes improbables.
C’est donc avec un grand plaisir que j’ai découvert qu’après les recueils papiers, c’était au tour de bouteilles de vin d’être ornées de ces jeux de mots. Monocépage en Sauvignon, le blanc sec de la marque est le parfait vin d’apéro, drôle à l’extérieur, simple et efficace à l’intérieur. S’il n’est certes pas marqué par une grande complexité, il offre avec modestie une quille qui fait le job, à savourer entre potes.
Un petit condensé de ces notes d’humour vinique :
Et côté musique on reste dans l’absurde et le pileux avec PV Nova…
Pour découvrir tous les autres posts sur ce thème, faites un tour sur le blog des Vendredis du Vin.